8 FI 183, Place du Théâtre, marché à la ferraille et puce, fin du XIXe siècle

Les Références

L’histoire renaît au présent

Les archives municipales de Saint-Étienne ont pour missions de collecter, classer, conserver et communiquer les archives produites par les services municipaux.

 

Intéressant l’histoire de la cité, elles ont également pour vocation de conserver des archives privées (associations, architectes, entreprises, photographes, etc.). Les documents écrits, photographies, films, plans, cartes… conservés aux archives sont ainsi le reflet de l’activité des services de la Ville et des personnes qui la construisent et s’y impliquent. Documents souvent uniques et précieux, parfois anciens, ils témoignent des événements qui ont façonné la ville mais aussi de la vie de chaque habitant. Ouvertes à tout citoyen qui désire effectuer une recherche dans ces fonds, les archives accueillent aussi des groupes scolaires et mettent en œuvre chaque année des projets de valorisation culturelle : exposition temporaire, atelier artistique, table ronde, visite des lieux… C’est dans le cadre de ses missions de valorisation culturelle que les archives ont mené le projet de résidence d’auteur de bandes dessinées.

Et c’est dans cet environnement que Domizia et Baptiste ont évolué et choisi de mettre en lumière et de dessiner des documents jusque-là peu connus qui les ont guidés durant ces quelques mois de résidence.

 

Créer une ambiance

Pour dessiner la ville, nous avons besoin de références, et les archives sont une mine d’or. La difficulté est de trouver des images de la ville, cette tâche est rendue d’autant plus complexe par le caractère « ville champignon » de Saint-Étienne. Cette ville est un conglomérat de quartiers disposant tous d’une identité bien particulière, sortant brusquement de terre, répondant à quelques besoins immédiats. Nous avons donc commencé par utiliser la presse de l’époque. Ne disposant pas de la photographie, les textes sont précis et explicites. Puis nous avons cherché dans la multitude d’archives figurées : photographie, affiche, dessins, plans pour enrichir notre vision de la ville. La plus vieille photo prise à Saint-Étienne est une vue du quartier des Gauds vers 1850, actuellement le cours Victor-Hugo, restructuré vers 1855. Il est amusant de constater qu’en 1850 ce quartier des Gauds, insalubre et délabré, se situe à moins de deux-cents mètres du nouvel hôtel de ville, imposant et démesuré par rapport au besoin de l’époque.
Domizia et Baptiste

Façonner des personnages

Petit texte sur les personnages qui arrive

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Un assemblage

Passez votre souris sur les vignettes pour voir le détail.